PETITION contre l'"art" de la cruauté...

En 2007, Guillermo Vargas Habacuc, supposément un artiste, a pris un chien abandonné dans la rue, l’attacha avec une très courte corde au mur d’une galerie d’art et l’a laissé mourir lentement de faim et de soif.




Pendant plusieurs jours, autant l’auteur de cette cruauté tout comme les visiteurs de la galerie d’art ont observé impassible l’agonie du pauvre animal jusqu’à sa mort d’inanition après avoir passé par un calvaire douloureux, absurde et incompréhensible

https://www.youtube.com/watch?v=O6vP8CgTonQ

Ce n’est pas tout : la prestigieuse Biennal Centroaméricaine d’Art a décidé, de façon incompréhensible, que la sauvagerie que venait de commettre cet individu était de l’art et en conséquence, Guillermo Vargas Habacuc a été invité a répété sa cruauté dans la version 2008 de l’événement. EMPÊCHONS-LE !

Signez cette pétition à cette adresse : http://www.petitiononline.com/13031953/petition.html . Il ne faut pas payer ni s’enregistrer et ça vaut la peine afin que cet homme ne soit pas félicité ni appelé artiste devant un acte cruel, insensible et sadique.

C’est facile et ça ne prend que 10 secondes. SIGNEZ !!! SVP

"Premièrement il y a de quoi être satisfait par l'ampleur de la révolte des amis des animaux du monde entier suite à l'ignominie commise par ce pseudo-artiste du Costa Rica qui a laissé mourir de faim un pauvre chien dans une galerie d'art.

La pétition a reçu plus de 176 000 signatures en seulement quelques jours et les organisateurs de la biennale ont reçu des milliers de courriers. La pétition a donc acheminé a bon port des milliards de signatures.

Deuxièmement l'association italienne OIPA nous annonces les premières retombées de ce mouvement de protestation : l'artiste présente ses excuses publiques et promet de ne plus jamais refaire un tel acte, il promet qu'il ne parlera plus de la mort de cet animal comme s'il s'agissait d'une oeuvre d'art.

Les organisateurs de la biennale, inquiets de cette mauvaise publicité, demandent des explications à cet artiste et remettent en cause la légitimité de sa présence durant la biennale et plusieurs associations de protection animale étudient un moyen de poursuite judiciaire contre cet homme.

Le vice président de la Commission Européenne, lui-même, a envoyé une lettre d'indignation aux médias, demandant entre autres que les portes de l'Europe restent close à un tel homme.

Il est clair que l'on pourra parler vraiment de victoire le jour ou cet homme sera jugé pour ce qu'il a fait et quand les organisateurs de la biennale refuseront sa participation.

Cependant, bien que le fait d'avoir laissé mourir de faim ce pauvre chien soit inacceptable, le geste de cet homme n'est que l'arbre qui cache la forêt. "